lundi 4 février 2008

Besançon j’y crois aussi !


J’aime ma ville où j’exerce avec passion le métier de chirurgien, j’ai la faiblesse de croire que Besançon peut changer, séduire de nouveau entrepreneurs et commerçants, fidéliser davantage ses étudiants, détecter ses talents, notamment au sein des quartiers populaires et des associations, trop souvent négligés par le passé.

Cette dynamique, un homme peut y arriver, c’est Jean Rosselot, dont tout le monde, de droite comme de gauche, vante ses talents d’écoute, de générosité, de réflexion, tel l’enseignant de droit qu’il est.

Lui seul, Jean Rosselot, sera capable de rendre la parole aux quartiers, dont les problèmes sont propres à chacun de ces quartiers, à écouter d’une oreille attentive les bisontins, à encourager les initiatives, les engagements et les responsabilités de tous, quels que soient leurs couleurs ou religions, en toute égalité républicaine.

Je souhaite voir se développer des passerelles entre nos concitoyens âgés et les forces vives de la jeunesse, vivre dans une cité où on donne sa chance aux hommes et aux femmes issus de l’immigration, sans pour autant entretenir à outrance, à visée électorale, un assistanat et une aide sociale inadaptés, coûteux et incompris de beaucoup d’entre nous.

Je milite pour un conseil municipal moins autocratique, une gestion financière plus rigoureuse de la municipalité, moins dispendieuse, récemment pointée du doigt par la Chambre Régionale des Comptes, et pour une diminution progressive des charges et impôts locaux.

Le changement de bord pour Besançon sera, outre l’effet symbolique, salvateur et pourvoyeur de progrès et d’innovation pour une capitale comtoise, toujours « belle » et enfin « réveillée ».

Il est vrai que les échéances engagées à l’échelon national par notre Président, certes nécessaires à moyen et long terme, nous rendent inquiets à court terme, mais tous ensemble, retroussons nos manches et travaillons main dans la main.

Pour une ville où les citoyens seront davantage écoutés, où l’exercice du travail sera plus aisé et la qualité de vie meilleure, votez Jean Rosselot.

Votre candidat aux côtés de Jean Rosselot et à votre service.

Besançon avec Jean Rosselot tout deviendra possible




Patrice GAYET

2 commentaires:

anne a dit…

Monsieur Gayet,
Votre analyse est séduisante mais peu en rapport avec le document que votre équipe distribue.
Electrice UMP, j’étudie avec attention les programmes des candidats à la mairie de Besançon.
Je regrette que la plaquette de Jean Rosselot ne soit qu’une accumulation de bonnes intentions (« bonnes » c’est à voir !!!) et que la volonté de rupture qui, m’a-t-on dit, l’anime soit difficile à trouver. Je n’ai, en effet, à la lecture des « 40 idées pour Besançon » trouvé ni de projet cohérent fort, ni de fil conducteur. Il est vrai que la campagne présidentielle qui s’est déroulée en 2007, nous a amenés à exiger de nos futurs représentants des débats de fond accompagnés d’actions concrètes, désespérément absents de votre « programme ».
Comment la durée d’un mandat dans l’opposition ne peut-elle produire comme résultat que des pistes de réflexion ? Exemple : dans votre « rubrique » MIEUX VIVRE et sous rubrique ENFANCE (c’est quoi ces parenthèses à tous les étages !) comment peut-on encore écrire : « nous rechercherons toutes les possibilités … » Plus vague, c’est possible ??? Même réflexion sur la parenthèse CULTURE et sur « l’épaulement mutuel » de la parenthèse UNIVERSITE. Et ça continue justement comme ça à tous les étages.

Petite perle ou cerise sur le gâteau : N’y avait-il pas une municipalité de droite à prendre en exemple pour sa gestion exemplaire à la place de la ville de Lyon, ville emblématique socialiste !!! C’est affligeant.

Jean Rosselot a dit…

Chère Anne,
peut-être, contrairement au célèbre adage, ne voyez-vous pas… tout venir, car la cohérence est bien là.
Je reviens sur votre commentaire décapant en vous invitant à vous rendre sur la page d'accueil de mon site http://www.jean-rosselot.net/edito.html
Il s'agit là de l'élément faîtier qui donne justement toute sa cohérence à mes 40 propositions.
Je reexplique : épanouissement individuel de tous les Bisontins, cohésion sociale et collective par le logement et l'emploi sont bien là. Et aussi, l'amélioration des commodités de vie et l'accroissement du rayonnement de la ville.
Et enfin, vous qui voulez de l'étonnement, une ouverture en direction des quartiers, jeunes de la diversité, mais aussi de la gauche avec une ancienne conseillère municipale de JLF, qui sur le thème du site Viancin, à Montrapon, s'est retrouvée sur les mêmes valeurs que moi (écoute, respect des habitants, dialogue) contre l'autoritarisme du maire sortant.
Quant au "vague" de mes propositions, ne prenez pas pour du flou de vraies orientations car n'est-ce pas plus facile d'être sortant en ayant géré pendant 6 ans que d'être le challenger, challenger qui lui ne peut malheureusement s'en tenir qu'aux propositions dont il prend l'engagement qu'elles seront tenues… contrairement à ce qu'a fait JLF depuis 2001.
Au sujet de l'exemple de Lyon : bonne question. C'est l'enseignant chercheur en finances publiques qui vous répond. L'État a chassé ses anciennes méthodes budgétaires, dites de "moyens" pour parvenir à une gestion de résultats. Les grandes villes sont invitées à suivre l'exemple. Besançon fonctionne comme il y a 40 ans. Qu'y puis-je si ce sont deux villes socialistes qui ont répondu à l'appel des Christine Lagarde, Eric Wœrth, François Fillon, Nicolas Sarkozy, respectivement ministre des Finances, ministre du Budget, premier ministre et Président de la République ?